Hello (tout simplement, mais ne vous en faites pas, vous allez en avoir un vrai dans quelques secondes),
juste pour vous dire que le peu de ce que j'ai vu de canalblog ne m'a point séduit.
Vous pourrez désormais vous rendre ici pour le bonheur des petits comme des grands (on vous trouverez, en sus, des explications ainsi qu'une surprise - quel teasing).
Mingalaba, (comme on dit en birman)
dans le série, les cadeaux que m'ont offert mes géniteur (et -trice) voici les bocaux "Natures et Découvertes" achetées cette fois-ci par ma môman en suivant le principe dit du coup-de-cœur.
Vous remarquerez également sous les pots une autre partie du lot de paquets cadeaux, une petite boite en bois avec des tiroirs en métal pour ranger des "trucs", là j'y ai mis ma farine et mes sachets de levure mais c'est évolutif et on est souple avec nous même.
Je vais maintenant vous révéler la vraie réalité vraie de ces cadeaux.
Ils sont les fruits d'une longue réflexion, menée en douce par deux génies du mal, des êtres qui, malgré le fort pourcentage génétique que je partage avec eux, n'ont pas hésité à comploter dans mon dos pour mettre au point cette horrible machination.
Ces êtres vils souhaitant me motiver autrement que par un "alors? t'as chercher des apparts pour déménager dans un truc plus grand ?" ont en fait décidé de m'offrir des cadeaux prenant de la place.......
Oui ! (et là vous comprenez toutes l'horreur de la situation) je dois caser mes cadeaux dans mes 18-intimes-mignon-coquette-studette-m², les larrons essayent ainsi de me pourrir mon appartement ma cage à poule actuelle pour que j'aille sous des cieux plus cléments.
A ceux qui me diront qu'ils ont bien raison je leur dirait que moi aussi (je l'avais promis la syntaxe n'est pas bonne)....sauf que j'ai la flemme.
Voila !
Par contre les bocaux c'est cool, j'ai pu ranger toutes mes pâtes dedans, il me faudra un bocal long pour les spaghettis maman !
Et puis un petit morceau parce que j'ai envie
Pryvit (comme on dit en Ukraine),
j'ai eu une réflexion bizarre tout à l'heure que je souhaitais vous faire partager.
En effet, je passe bi-quotidiennement devant les galeries Layette pour aller au travail dans la joie et la bonne humeur (ou en revenir dans le bonheur et l'allégresse).
Oui les fameuses galeries, les parisiennes, les vraies, celle qui me causent tant de soucis quand je ne suis pas réveillé et que je dois longer d'un pas alerte alors que de nombreux touristes et de nombreux pas-touristes s'évertuent à se mettre sur mon chemin.
(Et la vous vous dites "Mais quel rustre" : après nous avoir parlé avec rage et hargne du tapis du Chatelet, il nous dit qu'il ne supporte pas les pauvres asiatiques perdus à Paris....Vous avez bien raison et j'y reviendrais plus tard.)
Bref je passais et comme d'habitude des cars entiers de chinois se déversaient devant les Galeries, rien de choquant pour le moment.
Là où ça devient intéressant c'est que les galeries (dans un esprit de développement multi-culturel et de compréhension mutuelle des peuples) ont créé un espace spécial pour souligner la nouvelle année chinoise qui nous pend au nez comme un sifflet de dessous.
Et nos asiatiques de faire la queue devant l'entrée de la zone démilitarisée spéciale Nouvel An.
Je me suis alors faire cette réflexion : "Tiens c'est drôle, ils viennent dans un lieu cliché du tourisme parisien pour y regarder une vision clichée de la chine".
Que se passe t-il alors ? Se moquent t-il des représentations que nous faisons de leur pays en étant eux même acteur d'une image ? Cela créera t-il une faille temporel qui engloutira le monde dans un déluge de particules subatomiques ? Freddie Mercury pourra-t-il en revenir et faire un album studio post mortem ?
(Noter le titre de la rubrique - Philosophie de comptoir - j'en ai d'autres sous le coude)
Latcho divès (comme on dit en Roumain),
chose promise chose due, je vous ai concocté une petite vidéo à base de guitare, de pédale (choisissez la bonne) et de moi même votre serviteur dévoué.
Cette suite d'images animées contiendra certes bon nombre de défauts, comme la qualité risible et défaillante du micro de mon appareil photo, ou encore cette belle source lumineuse pile derrière mon épaule que je n'avais point vu au repérage des lieux (qui fut très rapide).
Vous n'y verrez pas ma tête, mais ça c'est fait exprès, parce que d'une part, je ne suis pas sorti de mon appartement ce dimanche et donc je suis dépenaillé et mal coiffé, d'autre part, je ne voudrais pas que les clubs de VTT m'attaquent pour m'être moqué de leurs minorité (de cyclistes).
Vous aurez tous reconnus Still Loving You de Scorpions, un des grands groupes allemands (avec Nena et ses 99 luftballons).
Prenez du popcorn.....prêêêêêêêt......Tournez !
Bonghjornu (comme on dit en Corse),
les personnes attentives (oui je sais, je leur en demande beaucoup en ce moment, z'avait qu'a pas être si attentives), auront remarqués qu'un heureux événement c'était produit il y a quelques jours par l'ajout d'un bâtonnet sur le mur de ma vie, ou autrement dit, par l'ajout d'une feuille sur le petit tas de mes années.
(Pfff, j'en peut plus de ces métaphores à la mord-moi-le-nœud).
Bref, j'ai eu mes vingts-trois printemps (bien qu'en Janvier on sent plutôt une nette prédominance de l'hiver, du à la brise et aux brisures caudo-gérontologique).
Mue par l'inspiration d'une muse nordique mon papa m'offert une pédale.
.......
Une pédale?
Une pédale ?
Ben non bande de galopins une pédale :
Voila, ça se branche entre la guitare électrique et l'ampli et ça permet d'enregistrer ce que le guitariste en herbe (ou le guitar hero) joue pour ensuite le répéter. Ça permet de se faire plusieurs lignes mélodiques ou rythmiques.
C'est un peu le groupe portable du guitariste solitaire (il est poor et il est lonesome le guitariste).
Je vous devance tout de suite, petits videophages que vous êtes :je mettrais une vidéo de mes exploits en ligne dès que je saurais maitriser l'engin (un indice : c'est dur).
Vous voilà prévenus, prenez vos bouchons d'oreille, votre ordinateur et dites que c'est bien.
Goddag (comme on dit en danois),
c'est un grand jour aujourd'hui puisque je vais vous parler d'un phénomène panamo-urbain qui me choque en continue depuis mes 1 an et demi de vie Parisienne.
Ça me choque tellement que j'en rabat les esgourdes au moindre malheureux qui me demande "Alors Paris ?".
Je me lance alors avec véhémence dans une critique peu positive mais passionnée sur les travers de ce bout de terre bien rangé au nord de la France, et qui pourtant ne semble pas en faire partie.
Regardez attentivement cette première photo.
Les plus attentifs qui ont déjà eu la chance de passer dans ces dédales que n'envierait pas Thésée, auront reconnu le fameux tapis roulant horizontal de Chatelet.
Mais regardez plus attentivement ci dessus, ce petit panneau discret, attaché au dessus de vos têtes comme si de rien n'était dans le néant blanc du plafond.
En décryptant cette photo de qualité, que lisez vous ?
"Tenez votre droite"
Oui certes, après un an à vivre à Paris (et même après un temps beaucoup plus court) un cerveau normal intègre avec une célérité qu'on ne lui connait guère, qu'il faut absolument déplacer l'ensemble de la masse corporel du corps qui lui est associé sur la droite des tapis roulant.(Théorème dit "du Chatelet")
Que ceux-ci soient horizontaux, montants, descendants, à l'envers ou en spirales (bon on les croise de moins en moins ceux-là), ce théorème vous suivra dans le moindre recoin des stations de métro sordides.
Explication : quand vous vous placerez naïvement sur la gauche du tapis (avec une candeure toute provinciale), un commercial déchainé, portable au poing et mallette en main vous défoncera l'épaule gauche afin de se frayer un passage. Vous serez alors propulsé vers le côté ou vous finirez votre aventure prostré et traumatisé.
Attention au piège, si vous êtes venu avec une ami provincial pour vous soutenir dans cette dure épreuve que de venir à Paris, faites attention au relâchement. Votre ami monte sagement à droite en toute sécurité - et là c'est le drame - vous vous placez à côté de lui (à gauche donc) pour continuer à discuter.
Je vous laisse imaginer la suite...c'est sanglant.
Tenez votre droite - Ces trois mots cautionnent et résument les attitudes du piéton Parisien prés à tout pour se frayer un passage dans la jungle urbaine que sont les trottoirs et espaces de marche de la ville.
Je voulais finir avec une analogie brillante sur le tapis roulant du Chatelet et une autoroute allemande mais je vous épargne ça pour aujourd'hui.
Bonsoir à toutes et à tous,
Nous attaquons très fort puisque je vais me décrédibiliser en direct sous vos yeux en une paire de secondes.
Voila, lançons nous !
Je vous présente donc une œuvre de mon cru, directement sorti de mon fécond cerveau droit qui après avoir été trop sollicité par un client agaçant n'a pu résister à ce jeux mot bas de gamme.
Le cerveau gauche, ne pouvant rien faire, totalement maitrisé par son compère et voisin, déplaça la main droite (on s'y perd) pour ouvrir Paint.
C'est ainsi que je commis ce que vous allé pouvoir admirer sans détour, une sorte de mise en abîme, un cri lancé sans vergognes aux artistes de bas étages et autres "arengueurs" de foule.
"N'y voyez pas le fantasme de l'homme,... mais plutôt le délire de l'artiste"
Lançons nous avec un premier article très météorologique et peu originale.
Parlons de la neige.
Voici un petit aperçu de la vision depuis mon balcon des toits encore enneigés depuis la chute de flocons de Lundi.
N'hésitez pas à cliquer sur la photo, les aminches.
Vous pourrez admirer cette vue Kremlinoise quelque peu sublimée par l'or blanc (bon juste un peu sublimé, d'accord).
Et pour sacrifier à la tradition je vous met un petit morceau de musique.
[photo]
Bonjour tout le monde,
et bien voila, sous l'impulsion d'une expatriée anglophile, j'ai crée un blog.
"Zut alors un autre blog, et dire qu'on galère déjà à aller écrire nos commentaires sur le site des edimbourgeois".
J'en suis sincèrement désolé mais espère soulever autant de réactions passionnées que mes amis d'outre-manche.
Sur ce blog, je parlerais :
mais je ne parlerais pas :
A bientôt pour de nouvelles aventures.
[Photo]
